Catégories : Rencontres BDSM Homme soumis, Femdom Domination féminine
il y a 10 ans
Auteur Arkhamon
Le début de l'histoire est ICI
Chapitre 6
"Viens petit jouet. Lèche-moi. Fais-moi hurler. Fais-moi perdre la tête, et je te récompenserai...". Cette invitation me réveille, et fait se redresser mon sexe. Je m'avance en marchant maladroitement, essayant de minimiser les à-coups qui sont extrêmement douloureux à mes tétons et à mes bourses. Je m'installe à quatre pattes devant elle, et approche mes lèvres de son sexe luisant et palpitant. Ce faisant, les poids tiraillent mes tétons en pendant dans le vide. Je sens un mouvement derrière moi, et je sens deux mains se poser sur mes fesses encore endolories par les flagellations et le coussin à pointes.
"Vas-y mon chéri. Son petit cul est à toi. Défonce le bien pendant qu'il me lèche." Cette vulgarité n'est pas pour me déplaire à cet instant, et je sens le plug être éjecté de mon anus. Immédiatement après, je sens un produit froid enduire mon anus. J'ai immédiatement peur de l'huile, et me prépare à souffrir. Mais il n'en est rien. Cette fois, c'est un lubrifiant classique…
Je sens le gland de Monsieur se présenter à l'entrer, et commencer à pousser doucement mais fermement. Pour prouver mon désir de plaire, je commence à caresser Madame, qui amplifie mes mouvements de langue avec son bassin. D'un puissant coup de reins, Monsieur s'enfonce de tout son long en moi, et je sens ses bourses taper contre les miennes. Je fais un effort pour ne pas crier et je continue mon office. Après quelques secondes d'acclimatation, Monsieur entame ses mouvements. Ils sont puissants et amples. A chaque fois, il ressort presque entièrement son sexe pour le replonger à fond. La douleur du début s'est estompée, et laisse place à un plaisir grandissant. "Exceptionnellement tu peux utiliser tes mains pour me caresser" me dit Madame dans un soupir. Je m'exécute et approche mes mains maladroites de son sexe. Je commence à lui caresser délicatement les abords de son clitoris qui émerge, comme un appel à la caresse.
"Allez, caresse moi bien, flatte moi la croupe, fourre moi ta langue dans la chatte, branle moi le clito, explore mon cul s'il le faut mais putain fais-moi jouir sale petit bâtard!" hurle-t-elle furieusement, en proie à une hystérie apparemment incontrôlable. Ce faisant elle plante ses talons aiguille dans mon dos pour bien verrouiller la position. La soudaineté et la sauvagerie de cette tirade me laissent sans voix tant le propos est grossier et vulgaire. Mais je sens bien qu'elle veut un cadeau d'anniversaire inoubliable, et ces mots qui d'habitude m'auraient déplu et bloqué font tomber toute barrière.
Monsieur commence à me ramoner de plus en plus vigoureusement, et je sens mon plaisir monter lui aussi, malgré la douleur quasi insupportable générée par le mouvement de balancier du demi-kilo de poids accroché à chaque sein. Totalement déchaîné, je décide de redoubler d'efforts sur le sexe de Madame, et je la lèche frénétiquement, pendant que je lui introduis trois doigts dans le vagin, et deux dans l'anus. Je sens son ventre qui se contracte, et les contractions deviennent encore plus fortes quand de mon autre main libre, je commence à lui caresser le clitoris. Ses grognements se transforment en hurlements ininterrompus, et me rappellent Traci Lords en plein plaisir. Les connaisseurs apprécieront.
Monsieur devient totalement rude et me pilonne sans vergogne, provoquant des spasmes de plaisir dans son cul, et de sévères douleurs dans mes seins et mes bourses. Tout à coup, un pur bonheur m'envahit en voyant le corps de Madame se cabrer comme tout à l'heure. Cette fois, je vais réussir à la faire jouir, et cette pensée me comble. Non que je craigne une punition. Je veux simplement qu'elle soit comblée! Mais cette fois, elle se cabre encore plus. Ses hurlements prennent un volume inouï et je commence moi-même à pousser des grognements révélateurs. Monsieur se met à haleter sur un rythme saccade...
Les convulsions que j'avais vues tout à l'heure reprennent, avec toutefois une ampleur qui me semble plus grande. Je suis obligé de faire de grands efforts pour maintenir le contact avec son sexe, tellement ses mouvements sont puissants. Tout à coup, son corps se cabre brusquement, projetant son sexe très haut, et m'obligeant à me redresser un peu pour le suivre. Je sens le sexe de Monsieur qui enfle, annonciateur d'un heureux événement bien connu maintenant. Il m'attrape les hanches et me laboure avec une rage et une frénésie impressionnante, tandis que Madame pousse un hurlement que je ne pensais pouvoir être poussé par un humain, et de puissants jets puissants et rapides de cyprine fouettent mon visage à un rythme rapide. Le hurlement se prolonge jusqu'à s'éteindre dans sa gorge. Son corps est totalement arqué dans une déferlante de plaisir.
Je continue à m'activer tandis que je sens les jets saccadés de Monsieur envahir mon fondement. J'ai moi aussi un orgasme mais sans éjaculation, tout au plus puis-je sentir une légère sécrétion sortir de mon méat. L'orgasme de Madame me sidère par sa puissance et son ampleur. Elle est totalement arquée, les yeux exorbité et presque révulsés, la bouche grande ouverte d'ou n'émane plus aucun son, la poitrine immobile et les seins tendus par le plaisir. Monsieur finit d'éjaculer, pendant que Madame fait de même sur mon visage. Je me délecte de son plaisir qui n'en finit pas. Au bout d'un certain temps, je vois son corps reprendre forme humaine, et redescendre. Puis il retombe comme un soufflet, inerte. Elle a les yeux fermes, le visage légèrement déformé par une expression ou se mêlent plaisir et souffrance. Monsieur se retire et vient se placer à côté de moi. Ce qui m'étonne une fois de plus, c'est la symbiose qui existe entre ces deux êtres. Leur amour doit être grand pour pouvoir se percevoir comme ça…
"Je crois que cette fois, elle t'accordera le 20/20" me dit-il affectueusement.
C'est la première fois que j'assiste à ce que les geishas appellent 'la petite mort'. C'est vraiment impressionnant. J'en oublie presque les aiguilles et les poids. Devant mon air impressionné, Monsieur me rassure:
"Ne t'inquiètes pas, elle va reprendre connaissance d'ici très peu de temps.". En effet, Madame semble reprendre connaissance et revient peu à peu à elle. Une grande bouffée de chaleur s'empare de moi quand je vois sur son visage une expression qui serait la description la plus fidèle du bonheur. Madame a fini de reprendre connaissance et referme les jambes. Elle se relève chancelante et reprend ses esprits.
"Quel adorable cadeau tu m'as fait là mon chéri.". Elle s'approche de moi, et prend délicatement mon sexe dans sa main. Cette fois, le geste n'est que tendresse et volupté.
"Mon petit jouet. Je suis très contente de toi. Tu as été parfait, malgré des débuts bien maladroits, tu t'es racheté. Je vais maintenant t'offrir un orgasme que tu n'es pas prêt d'oublier..." Ces parole finissent de me rendre fou de désir. Je sens mon sexe commencer à palpiter. Non! Pas maintenant me dit une voix intérieure! Madame s'en rend compte et arrête immédiatement, non pour me punir mais pour me contenter au centuple plus tard. "Viens" me dit elle en reprenant la laisse et en me reconduisant vers la salle de bains. Monsieur me suit, immédiatement suivi de notre cameraman attitre. Arrivés à la salle de bains, elle m'ordonne d'enlever mes chaussures, et enlève le collier qui entourait les bourses. Délicatement, elle prépare des compresses stériles imbibées d'alcool. Elle défait les poids un par un, puis enlève les pinces de mes bourses. Elle enlève les cordelettes, tachées par endroit d'un peu de s a n g. Une impression de libération s'empare de moi. Mais je sais que l'étape prochaine sera douloureuse. Madame se rend compte de ça, et me demande de m'allonger sur le dos sur le banc. Elle s'agenouille alors à côté de moi et demande à son mari d'enlever les aiguilles.
Elle approche alors son visage du mien, et me donne un baiser incroyablement doux et passionné, pendant que Monsieur enlève les aiguilles une par une, m'arrachant à chaque fois un cri, étouffé par la bouche de Madame. Nos langues s'emmêlent frénétiquement, tandis que je sens quelques filets de s a n g couler le long de mes flancs. Bientôt toutes les aiguilles sont parties, et Madame s'écarte de moi.
"Bien et maintenant une douche" dit elle d'un ton enjoué en allant sous la douche, tout en m'attirant moi aussi. Monsieur vient en troisième. L'eau est tiède et douce, et Madame déploie des trésors de douceur pour me laver partout. Elle utilise sa bouche pour laver mon sexe, ainsi que celui de Monsieur. Nous ressortons tous trois ruisselants et nous essuyons dans de grandes et douces serviettes. A la demande de Madame, nous rejoignons le salon.
EPILOGUE
"Maintenant mon doux jouet, je vais t'offrir ta récompense." Ce faisant, elle sort un petit pot d'une armoire, et prend une noix d'une crème couleur vanille et commence à enduire mon sexe par des gestes très attentionnés. Cette crème me procure une impression de fraîcheur, et a un parfum très vanille. "Cette crème va retarder ton éjaculation au maximum, mais sans pour autant te priver de plaisir. Après tout ce que tu viens de vivre, tu as bien le droit toi aussi de profiter..." me dit-elle avec un regard lubrique dans les yeux.
"Et en plus je vais t'offrir un extra. Dans nos mails, tu m'avais parle de ton goût prononcé pour le sadisme. Je suis moi-même comme je te l'avais dit soumise et masochiste. Je vais donc t'offrir deux plaisirs: celui de la jouissance et celui de me faire mal".
A ces mots, mon désir explose dans ma tête. Elle se tourne vers moi, me prend la main et me conduit vers une pièce. La porte ouverte, je constate qu'effectivement il doit lui arriver de passer de bien pénibles moments. Cette pièce est littéralement pleine d'objets de torture. Elle va d'elle même s'allonger sur le dos sur une table gynécologique. Son mari s'approche d'elle et lui emprisonne les poignets et les chevilles dans d'épaisses s a n g l e s de cuir. Il fait de même avec son cou gracile et son ventre. Sauf que pour le ventre il serre fort. Il place ensuite un coussin sous les fesses de Madame, et je reconnais le coussin de tout à l'heure, même si les pointes me paraissent plus longues. Avec un soupir de plaisir, elle s'appuie fortement sur le coussin, tandis que Monsieur finit de la s a n g l e r en lui immobilisant les cuisses. Je lis une certaine appréhension sur son visage. Nous n'avions pas discuté de cette partie, et c'est une surprise totale pour moi.
"Cher Arkhamon" me dit-elle. Je remarque qu'elle a change d'attitude, et qu'elle n'emploie plus le terme de jouet.
"Tout à l'heure tu m'as comblée par le plaisir que tu m'as donné, par la douleur que j'ai pu t'infliger, et par le contrôle sur toi que tu m'as laissé. Nous avions convenu avec mon mari et Maître qu'après avoir eu mon plaisir, je redeviendrais son esclave docile. Mais je dois te remercier pour le cadeau, et c'est en esclave que je vais le faire. Le produit que j'ai rependu sur ton sexe devrait retenir ton éjaculation pendant au moins 10 minutes. Durant tout ce temps, je te demande comme un service de bien vouloir me martyriser les seins. N'aie pas peur d'y aller fort, je suis très résistante. Ne t'inquiète pas pour les marques, ça sera un honneur pour moi. La seule contrainte que tu as, c'est de ne pas m'arracher les seins, ni me les abîmer trop profondément. Mais sinon, tu peux tirer dessus les tordre, les mordre, les brûler…"
Ce faisant, Monsieur amène un plateau à roulettes près de sa poitrine. Les instruments que je peux y voir me font peur, en même temps qu'ils m'excitent. Il y a la des aiguilles d'une taille et d'un calibre impressionnant, des pinces, et surtout un curieux appareil d'où sort une tige terminée par un manche. L'appareil semble branché sur le courant. Voyant mon regard interrogateur Madame m'explique.
"C'est un appareil pour faire des brûlures". Monsieur se dirige alors vers son sexe déjà entre ouvert, et commence à placer de minuscules pinces garnies de dents. Chaque pince arrache un petit cri quand les dents mordent la chair sans pitié. Après les grandes lèvres, c'est au tour des petites d’être parées. Monsieur glisse alors des cordelettes dans les anneaux dorés et dans les anneaux des pinces. Il tire alors les cordelettes, qui finissent d'ouvrir son sexe. Les délicates muqueuses que j'ai longuement léchées tout à l'heure apparaissent maintenant, sublimes appâts.
"Maintenant ça va être à toi de jouer, et de jouir. Tu vas utiliser ma bouche pour te masturber dedans, pendant que mon Maître va me fouetter le sexe. Il arrêtera des que tu auras joui. Mais prends ton temps, seul ton plaisir compte, ma douleur ne doit être pour toi qu'une douce chanson..."
Et elle ouvre grand la bouche. Tremblant et hésitant, j'y introduis mon sexe tandis que s'abat le premier coup de martinet sur son sexe, lui arrachant un cri étouffé. Et à chaque mouvement de ma part, un autre coup vient marquer ses muqueuses, qui commencent déjà à prendre une couleur plus sombre. Ses cris se font plus forts, je me demande même comment elle peut supporter ça. Mais elle le fait, et elle me suce consciencieusement le sexe, en variant la pression. Je lui prends la tête dans mes mains, et j'accélère les mouvements, augmentant par la même la fréquence des coups sur son sexe.
Les coups pleuvent et ses cris sont de plus en plus forts, à peine masqués par mon sexe. Malheureusement pour elle, la crème dont elle m'a enduit le sexe semble d'un efficacité redoutable! Le premier orgasme me surprend, et Monsieur s'arrête un instant et me regarde. Je ressors mon sexe de cette bouche si accueillante pour lui montrer qu'il n'est pas encore l'heure d'arrêter. Je regarde alors le visage de Madame, et vois dans ses yeux pleins de larmes une lueur de désespoir et de souffrance mêlés que je n'y avais jamais vu.
Je lui fais un sourire aussi sadique que possible, et lui saisis les tétons. Je les tire durement et en les pinçant de toutes mes f o r c e s, je les tords d’un tour complet, arrachant des cris fort motivants. J’en profite pour ré-enfourner mon sexe dans la bouche qu'elle vient de rouvrir tout grand. Monsieur en a profite pour changer d'instrument, et celui ci me semble tout simplement démoniaque. En effet, les lanières semblent plus lourdes, et une petite excroissance semble terminer chacune d'entre elles. Le hurlement qui en résulte confirme mon appréciation de la quantité de douleur que cet instrument peut infliger. Par pitié pour cette pauvre femme, je décide d'accélérer le rythme, tout en prenant ses tétons dans mes doigts pour les étirer, les rouler et les pincer. Ce qui me sidère le plus, c'est que pour toute réponse à cette torture, elle bombe le torse comme pour me faciliter la tache. En regardant son mari, je constate à son air approbateur que mes limites sadiques sont bien en deçà de ses limites masochistes. Je décide alors de ne pas me retenir.
C'est incroyable comme elle répond à la torture, et comment ses seins peuvent être étirés! Cela redouble mon plaisir et le troisième orgasme m'assaille. Cette crème est une merveille absolue! Une fois encore, je montre à Monsieur qu’il va encore pouvoir s’amuser un moment. Je décide de changer d’instrument, et tout en continuant à me masturber dans sa bouche, je m’amuse à chauffer les longues aiguilles et à lui planter dans les seins, et particulièrement dans les tétons, lui arrachant un flot maintenant continu de cris perçants.
Les petites traces laissées par les terminaisons des lanières prennent une couleur de s a n g, et je vois les premières traces rouges commencer à s'écouler des parois intérieures de son sexe. Monsieur a pris un second martinet plus fin et il alterne maintenant les coups. Le plus fin semble être encore plus douloureux que le précédent. Je décide moi aussi d’augmenter l’intensité, et me saisis de l’appareil à brûlures. Je le mets en route, et quelques secondes plus tard, la petite pièce au bout est rouge vif. Je m’applique alors à lui brûler les auréoles. Cette fois, les cris sont hystériques. D’autant que j’ai saisi entre mes dents la chaîne qui relie ses deux tétons percés et que je tire dessus, étirant ses seins splendides de plus de 20 centimètres, me donnant plus de chair à brûler.
Les coups pleuvent maintenant et son corps n'est plus que douleur, car chaque entrée de mon sexe déclenche une frappe du martinet lesté, et chaque sortie une de l'autre martinet. Cette vision de son sexe ainsi maltraité et de ses seins étirés et tordus dans tous les sens me déchaîne et j'accélère encore mon rythme. Monsieur a du mal à suivre. Madame n'arrête plus de hurler tandis que le s a n g coule maintenant franchement de ses nymphes labourées et déchirées par le fouet. Et soudain, le moment tant attendu arrive enfin. Mon corps se cabre comme jamais. J'ai le souffle coupe. Mes jambes se raidissent. Je sens mon sexe gonfler, et je sens les succions se modifier afin de maximiser le plaisir qu'elle me donne. Et tout à coup le torrent se déverse, tandis que Monsieur bat maintenant frénétiquement le sexe de sa femme avec une puissance incroyable. Je me vide totalement dans cette bouche accueillante.
Les coups s'arrêtent immédiatement, et je constate les dégâts qu'ont causés les lanières sur ce sexe ouvert. Le s a n g perle de partout, y compris de son pubis. Les nymphes ont double de volume et sont rouges. Son ventre se soulève par mouvement saccades et rapides, presque incontrôlable. Ses seins sont eux aussi dans un piteux état, en s a n g, percés et brûlés de partout. Malgré tout, elle trouve les ressources pour tendre la tête et reprendre mon sexe dans sa bouche, afin de le nettoyer. Pendant ce temps, Monsieur lui applique sur le sexe une autre pommade, détache ses liens et lui applique une compresse sur le sexe. Elle se redresse et donne un long baiser accompagne d'un incroyable et tendre merci à son mari. Monsieur me dit que je peux retourner dans le salon. L'après-midi est bien entamée, et selon nos accords, il va être l'heure de nous quitter. J'enlève donc mes chaussures, et remets mes vêtements de ville.
Quelques minutes plus tard, Madame arrive dans une autre robe de soirée, qui est tout aussi sexy que la première. Les sandales ne sont plus les mêmes, mais elles sont tout aussi ravissantes. Son corps est vraiment magnifique. Monsieur a remis une chemisette et un pantalon. J'ai rassemble mes affaires, et je me dirige vers la porte.
"Merci beaucoup pour cette journée. Elle restera gravée à jamais dans ma mémoire.
- Merci à toi aussi. Tu as été un partenaire parfait.
- Quant à moi, j'ai été comblée à tous points de vue!" s'exclame Madame, qui s'approche de moi, et m'embrasse une dernière fois avec passion. Je sens la pointe de ses seins se dresser une fois encore. Cette femme est décidément incroyable! Quelle chance a son mari. Une authentique bête assoiffée de sexe, de plaisir et de douleur…
"La prochaine fois, si tu veux, nous inviterons des amis" me dit Monsieur,
- Ca me convient parfaitement..." dis-je en réponse.
Ils me tendent trois cassettes vidéos, afin que je puisse me délecter à nouveau de ce spectacle. Je repars, l'esprit vide, mais satisfait, fatigué mais en pleine forme. Déjà je me prends à imaginer comment sera la prochaine séance, avec leurs amis...
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